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La Bannière de VictoireLe vaseLa roue du DharmaLe noeud éternel
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L'Arbre de la Bodhi, également connu en tant que Bo (de Sinhalese Bo), était un grand et très vieux Figuier Sacré situé à Bodh Gaya (à environ 100 km de Patna dans l'état indien de Bihar), sous lequel Siddhartha Gautama, le professeur spirituel et fondateur du Bouddhisme plus tard connu en tant que Gautama Bouddha, est censé avoir atteint l'illumination, ou Bodhi. Dans l'iconographie religieuse, l'arbre de la Bodhi est reconnaissable de par ses feuilles en forme de coeur, qui sont habituellement bien visibles. Il faut 100 à 3000 ans à un arbre de la bodhi pour s'épanouir. Le terme "Arbre de la Bodhi" est également largement appliqué à des arbres existant actuellement, particulièrement le Figuier Sacré poussant au Temple Mahabodhi, qui est un descendant direct du spécimen original. Cet arbre est une destination fréquente pour les pèlerins, étant le plus important des quatre principaux sites de pèlerinage Bouddhistes. D'autres arbres Bodhi sacrés ayant une grande importance dans l'histoire du Bouddhisme sont l'arbre Anandabodhi à Sravasti et l'arbre Bodhi à Anuradhapura, au Sri Lanka. On croit que ces deux arbres sont issus de l'arbre Bodhi original.
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L'empreinte de Bouddha est une empreinte de l'un ou des deux pieds de Gautama Buddha. Il y a deux formes : les naturelles, comme celles trouvées dans la pierre ou la roche, et celles faites artificiellement. Beaucoup des "naturelles", bien sûr, sont reconnues comme n'étant pas les vraies empreintes du Bouddha, mais des répliques ou des représentations de celles-ci, qui peuvent être considérées comme des cetiya (des reliques Bouddhistes) et aussi l'une des premières représentations aniconiques et symboliques du Bouddha. Les empreintes de Bouddha abondent à travers l'Asie, datant de diverses périodes. Elles portent souvent des marques distinctives, telles que le Dharmachakra au centre du pied, ou les 32, 108 ou 132 signes de bon augure du Bouddha, gravés ou peints sur le pied. |
Dans un Trône Vide repose le concept de 'vide', un élément important du mysticisme. Cela symbolisait aussi la royauté de Siddharta Gautama. |
Sébile. La sébile est l'objet le plus simple mais l'un des plus importants de la vie quotidienne des moines Bouddhistes. Cela a été le symbole principal de la vie choisie du moine Bouddhiste. |
Le Lion - est l'un des symboles les plus importants du Bouddhisme. Le lion est le symbole de la royauté qui symbolisait ce dont faisait partie le Bouddha avant d'atteindre l'illumination. C'est aussi le pouvoir de l'enseignement de Bouddha et il est assez souvent comparé au rugissement d'un lion. |
Les Huit Symboles de Bon Augure -
(ou Ashtamangala) sont une suite sacrée de Huit Signes de Bon
Augure endémiques d'un certain nombre de Traditions Dharmiques
telles que l'Hindouisme, le Jaïnisme, le Bouddhisme et le
Sikhisme. Les symboles ou 'attributs symboliques' sont le yidam et les
outils d'enseignement. Non seulement ces attributs, ces signatures
énergétiques, montrent les qualités du courant de
pensée illuminé, mais ce sont les investitures qui ornent
ces 'qualités' de l'illuminé. Il existe de nombreuses
énumérations et variations culturelles des Ashtamangala.
Des groupes de huit symboles de bon augure étaient utilisées à l'origine en Inde lors de cérémonies telles qu'une investiture ou un couronnement de roi. Un des premiers groupe de symboles comprenaient : un trône, une swastika, une empreinte, un noeud au crochet, un vase de joyaux, une flasque d'eau de libation, une paire de poissons, un bol muni d'un couvercle. Dans le Bouddhisme, ces huit symboles de bonne fortune représentent les offrandes faites par les dieux à Shakyamuni Buddha immédiatement après qu'il ait gagné l'illumination. L'Ombrelle ou le parasol (chhatra) incarne les notions de richesse ou de royauté, car on devait être assez riche pour posséder un tel objet, et encore plus pour avoir quelqu'un qui le porte. Il montre l'"aisance royale" et la puissance dont on fait l'expérience dans la vie de détachement Bouddhiste. Les deux poissons représentaient à l'origine les deux principales rivières sacrées de l'Inde : le Gange et la Yamuna. Ces fleuves sont associés avec les canaux lunaires et solaires qui prennent naissance dans les narines et portent les rythmes alternants de la respiration ou prana. Ils ont une signification religieuse dans les traditions Hindouistes, Jaïnistes et Bouddhistes mais aussi dans la Chrétienté (le signe du poisson, l'alimentation des cinq milles). Dans le Bouddhisme, les poissons symbolisent le bonheur car ils ont une complète liberté de mouvement dans l'eau. Ils représentent la fertilité et l'abondance. Ils sont souvent dessiné sous la forme d'une carpe qui est considérée en Orient comme sacrée par rapport à leur beauté élégante, leur taille et leur durée de vie. Le vase au Trésor ou Urne de Sagesse représente la santé, la longévité, la richesse, la prospérité, la sagesse et le phénomène d'espace. La fleur de lotus, représentant la 'pureté originale' du corps, de la parole et de l'esprit, flottant au-dessus des eaux boueuses de l'attachement et du désir ; représente le plein épanouissement des actes salutaires dans la libération bienheureuse. La Conque - La conque blanche enroulée vers la droite, représentant le son magnifique, profond, mélodieux, interpénétrant et envahissant du Buddhadharma qui éveille les disciples du profond sommeil de l'ignorance et les presse d'achever leur propre bien-être et le bien-être des autres. Le Noeud - Le 'noeud infini' ou 'noeud éternel' représente l'entrelacement de la sagesse et de la compassion ; représente la dépendance mutuelle de la doctrine religieuse et des affaires séculières. Bannière de Victoire - La bannière Dhvaja était un standard militaire de l'ancienne guerre indienne. Le Makara Dhvaja est devenu plus tard un emblème du dieu Védique de l'amour et du désir : Kamadeva. Dans la tradition tibétaine une liste de onze formes différentes de la bannière de victoire est donnée pour représenter onze méthodes spécifiques pour surmonter les souillures. On peut voir de nombreuses variations du design de la dhvaja sur les toits des monastères tibétains pour symboliser la victoire de Bouddha sur les quatre maras. La Roue du Dharma (Dharmachakra) - La Roue de la Loi, représentant parfois le Sakyamuni Bouddha et l'enseignement du Dharma ; représentant également le mandala et le chakra. Ce symbole est communément utilisé par les Bouddistes Tibétains où il inclut parfois la roue intérieure du Gankyil (Tibétain). |
Swastika
- Dans la tradition Bouddhiste, la swastika symbolise le pied ou
l'empreinte du Bouddha et elle est souvent utilisée pour marquer
le début des textes. Le Bouddhisme Tibétain Moderne
l'utilise comme une décoration de vêtement. Avec la
propagation du Bouddhisme, elle est passée dans l'iconographie
de la Chine et du Japon où elle a été
utilisée pour désigner la pluralité, l'abondance,
la prospérité
et la longue vie. |
Les Quatre Rois Gardiens - Dans la foi Bouddhiste, les Quatre Rois Célestes sont quatre dieux gardiens, chacun d'eux surveille une direction cardinale du monde. |
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